Reconnaitre un bon vin : le guide

Sa robe rouge, blanche ou rosée plus ou moins brillante ou lumineuse fait tourner des têtes dans le monde entier. Sec, doux, tranquille ou pétillant, ses variétés sont aussi nombreuses que différentes et s’invitent la plupart de temps à notre table. Nous avons décidé de mettre le vin à l’honneur rare et prestigieux, commun ou anodin, il suit un chemin qui mène la grappe de raisins jusqu’à nos verres. Quels sont les critères de base pour reconnaitre un bon vin ? Et quelles sont les différentes étapes d’un bon cépage ?

Quels sont les critères de base pour reconnaitre un bon vin ?

Les bons vins sont-ils forcément chers ? Les réponses sont variables. Non parce qu’il y a en France plein de possibilités de vins délicieux et de très bon rapport qualité-prix. Par exemple dans le Roussillon et le Languedoc nous trouverons de très bons vins. Dans le Bordelais, on trouvera aussi de petits producteurs qui font de très jolis vins dans le fruit.

Pourquoi moins de 5 euros ? Parce que tout simplement ce que nous recherchons dans la qualité d’un vin c’est son caractère. Il faut qu’on ressente son cépage, son terroir et la patte de la personne qui l’a élaborée. Pour cela, il faut que ce soit un peu artisanal et donc, il y a des couts de production qui sont là et qui font qu’à un moment donné, un vin ne peut pas être en dessous d’un certain prix pour avoir l’identité qu’on lui demande.

Parfois, les grands vins nécessitent que des choses très simples en accompagnement, parce que tout simplement ils vont avoir avec des arômes, un goût particulier. Ils vont nous amener une sensation, une émotion particulière. Donc Marianna Ranalli nous demande d’être concentré sur cette émotion et ne rien avoir qui nous dévie de cette sensation.

Les différentes étapes d’un bon cépage

Le décuvage commence 10 à 12 jours après la récolte. À cette étape-là, le jus de tire a déjà été récupéré. On appelle jus de tire le jus qui s’est formé naturellement dans la cuve par l’écrasement des raisins sous l’effet de leur propre poids. L’opération consiste à récupérer les raisins de la cuve. En effet, ils contiennent encore beaucoup de jus. Puis on retire le jus contenu dans les bacs. Les raisins sont acheminés dans le pressoir.

L’étape la plus importante se passe dans la cuve de pressurage en forme cylindrique où s’effectue la montée en pression. C’est là que la surveillance est nécessaire pour obtenir un jus le plus clair possible par la qualité de presse.

Le gène (peaux de raisins, pépins, les rafles, matières sèches) quant à lui sera transformé en alcool (eau de vie).

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